Une discussion sur la façon que les institutions de financement coloniales peuvent mieux servir les cinéastes autochtones est l’un des points forts de la présence du Canada au European Film Market (EFM) de cette année ! Le marché virtuel aura lieu en même temps que le Festival international du film de Berlin, du 10 au 17 février 2022.
Si vous cherchez une session de l’industrie pour l’édition 2022 du EFM à ajouter à votre itinéraire, découvrez Comment les institutions de financement coloniales peuvent mieux servir les cinéastes autochtones, panel faisant partie du volet Diversité et inclusion. S’alignant sur le thème des sessions de l’industrie de cette année, “Shaping Change”, ce panel (présenté par Téléfilm Canada) se déroulera en ligne le 11 février à 13h00 HNE.
Le débat débutera par une introduction spéciale de Christa Dickenson, directrice générale et chef de la direction de Téléfilm Canada, et sera animé par Adriana Chartrand, responsable des initiatives autochtones et analyste de contenu à Téléfilm Canada. La discussion examinera les défis et obstacles divers auxquels sont confrontés les cinéastes autochtones lorsqu’ils veulent accéder au financement de films par le biais d’institutions coloniales, et comment les politiques et les exigences pourraient changer pour mieux répondre aux besoins des cinéastes autochtones travaillant dans les territoires du monde entier.
La discussion débutera par une conversation informelle avec Sardana Savvina (Sakha Cinema Club – la communauté des cinéastes indépendants de Yakoutie) et sera suivie d’une table ronde avec quatre producteurs indigènes et des défenseurs du secteur.
Commençant par un aperçu du financement des films autochtones dans chacune des régions représentées, les experts discuteront ensuite de la meilleure manière de préserver l’esprit et l’intention du financement des films autochtones en créant de nouvelles politiques et un nouveau système. Avec la coproduction Canada-Groenland This Road of Mine de Pipaluk Jorgenseon comme point de départ, les experts partageront les changements à apporter pour permettre aux autochtones de collaborer les uns avec les autres au niveau international et au-delà des frontières coloniales, souvent arbitraires.